sur Dunkerque et sa région.
Publié le 31 Mai 2021
Le marché immobilier français connaît de nombreux changements depuis le premier confinement, de l’année dernière. Regardons.
• La digitalisation
La digitalisation a pris une grande importance depuis le 1er confinement, pour les documents immobiliers, les actes notariés… Le marché a été fluidifié avec les signatures électroniques. Tout le secteur a su s’adapter, le digital est aujourd’hui incontournable (visites virtuelles, tenues d’AG, recherches immobilières…).
• L’ancien
L’immobilier ancien a été épargné, et le marché tient encore bon aujourd’hui. Malgré le contexte, les transactions immobilières dans l’ancien se maintiennent.
• Nouveaux critères de recherche
Les confinements ont mis en avant les envies de nature, d’espace, de qualité de vie, recherchées par les acquéreurs. Une envie de logements plus grands, dans des villes moyennes, qui deviennent plus attractives, notamment car elles sont plus tranquilles, et que le coût de la vie y est moins élevé qu’en grandes métropoles.
• Des conditions d’obtention de prêt assouplies
L’accès au crédit immobilier est facilité : durée de crédit jusqu’à 27 ans, des taux plus bas, 35 % d’endettement au lieu de 33%... Ainsi, un plus grand nombre de ménages a la possibilité d’acheter un bien immobilier.
• Le neuf
Au contraire du marché de l’immobilier ancien, le marché du logement neuf a souffert de ces différents confinements : retard, voire annulation de chantiers, des réservations qui ont chuté, des projets reportés…
• Valeur verte
La valeur verte des logements a pris plus de poids dans les critères de choix d’acquisition immobilière ou de location.